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Thứ Tư, 24 tháng 6, 2015
Le culte des ancêtres
Le culte des ancêtres un trait le plus saillant de la vie sprirituelle vietnamienne. Il est pratiqué sans tout le pays et par tous les Vietnamiens, quelle que soit leur appartenance sociale ou leur idéologie politique.
Le but du culte des ancêtres est de perpétuer un complexe émotionnel aussi intense que possible, liant d’une façon indissoluble les vivants et les L'autel des ancêtresmorts d’un même clan. IL a pour objet l’entretien des tombes, mais surtout le culte qui doit être rendu dans le temple familial aux tablettes des quatre générations ascendantes: trisaieul et sa femme, aieul et aieule, père et mere. Le jour de comémoration des ancêtres, les tombes sont re-décorées et tous les membres de la famille doivent se réunir dans la maison ancestrale pour démonter leur gratitude et pour renforcer le lien familial par le partage d’uen repas. Au fur et à mesure, on enterre les tablettes des générations les plus vieilles sous le sol du temple.
L’autel des ancêtres peut occuper toute une pièce dans LES GRANDES MAISONS ou la travée principale dans les maisons de compagne, mais en toute as le coeur du foyer. C’est généralement une planche fixée au mur ou une table assez heute où sont deposées les photos de morts, un ou plusieurs bols pour baguettes d’encens, deux chandeliers, parfois un petit brûle-parfums.
Dans l’esprit des Vietnamiens, il n’y a pas de séparation entre le monde des vivants et celui des morts. Ainsi même un ascendant décédé il y a des siècles hante toujours l’autel des ancêtres, revient parmi les gens aux jours de fêtes et aux anniversaires de sa mort. IL suit ses descendants dans leur vie quotidienne et est capable d’être au courant de ce que font ces derniers. Il partage ainsi leur peines et leurs joies, il est malheureux quand leurs descendants font du mal, il est fier quand ceux-ci font du bien. C’est ainsi que les Vietnamiens sacrifient à leurs feux ascendants à l’occasion de tous les grands événements de la famille.
Naissance d’un enfant, début des études d’un garcon, réussite à l’examen, fainçailles, marriage, deuil, grand voyage….
On leur envoie tous les conforts de la vie terrestre, en brûlant à leur intention des obhets vofifs en papier: vêtements, chapeaux, armoire, lit, voiture, moto et même des dollars américains, en faux bien entendu….
Pour que le culte des ancêtres puis être dignement célébré, on reserve dans le patrimoine du clan une part dite de l’encens et du feu dont l’héritier à l’usufruit.
Le culte des ancêtres Dans la famille, le culte des parents décédés est généralement assume par les fils, et notamment le fils aîné. Les filles ne sont autorisées à s’occuper de l’autel des ancêtres que si elles n’ont pas de frères. C’est ainsi que les Vietnamiens, encourages par la loi à faire deux enfants au maximum, préfèrent avoir deux fils qu deux filles, deux enfants de sexe oppose étant ideal. C’est ainsi aussi que beaucoup de vietnamiens se divorcent, ou se laissent tentés par l’adutère, dans cet effort de laisser après leur mort, un homme pour s’occuper de leur âme et perpétuer leur souvenir. Si quelqu’un meurt sans laisser de descendants, il n’aura pas d’autel pour revenir parmi les vivans et son âme sera condamnée à un écrance éternelle. La plus grande malediction pour un Vietnamien est donc de mourir sans laisser d’enfants. La solution dans ce CAS est d’adopter uin enfant ou bien faire don de son patrimoine à des pagodes bouddhiques, à des temples communaux qui assureront en contrepartie son culte posthume.
Car ce n’est pas seulement la mort mais également le rituel qui ouvre le chemin à la vie future. Le rituel seul et non la mort peut constituer la transfert de vie ou de puissance don’t le mort a besoin. Grâce au rituel, le Vietnam croit aux morts, tandis que l’Occident ne croit qu’à la mort.
La veille du Nouvel an lunaire, à minuit, se tient la cérémonie la plus solenelle du culte des ancêtres.
La vie sprirituelle des Vietnamiens, hier comme aujourd’hui, est façonnée par l’influence croisée de plusieurs croyances et religions: Culte des ancêtres, boudhisme, confucialisme, taoiste, christianisme, islamisme…ect.
Culte de la fécondité
Au Vietnam, depuis l’aube de temps, maintenir et multiplier la vie a été le besoin primordial de l’homme. Pour une culture d’origine agricole, ces deux aspects sont doublement importants
Pour maintenir la vie, il faut que les récoltes soient abondantes. Pour la développer, il fut que l’homme se multiplie. Dans le type de culture, les deux concepts: produire du riz pour maintenir la vie et produire des hommes pour maintenir l’espace sont de même nature. C’est l’alliance de deux éléments de natures différentes ( la terre et le ciel, le père et la mère où le yin et yang)
le culte de féconditéLe résultat est l’apparition d’un culte de la fécondité ( tin nguong phon thuc, phon = fertile, thuc = mutiplication). Au vietnam, ce culte a perduré tout lelong de l’histoire et peut revêtir deux formes pratiques: Vénération des organes sexuels mâle et femelle, et culte de l’axe sexuel.
Le culte des organes sexuels mâle et femelle est appelé culte du sinh thuc khi (esprit de la reproduction). C’est la forme la plus simple du culte de la fécondité, répandue dans toutes les cultures agricoles du monde. Des figures masculines et féminines avec des organes sexuels bien nets ont été retourvés sur des sculptures de pierre de plusieurs millénaires avant J-C, des dessins gravés sur d’antiques blocs de pierre dans la vallée de Sapa. La décoration des maisons funéraires des Hauts – plateaux du centre du Tay Nguyen comprote souvent des figurines.
Dans de nombreux endroits, on pratique le culte du No Nuong (No= le COIN, symbolisant le phallus et Nuong = spathe d’aréquier de forme ovale, sybolisantla vulve. À la fête villageois de Dong ky (Bac Ninh) il y a la procession traditionnelle des sexes (en bois) le 6 è jour du premier mois de l’année. A la fin de la procession, on brûle les deux objets et les cendres sont partagées entre tous les habitants pour porter chance.
Le culte des organes sexuels se pratique encore avec des colonnes en pierre naturelles, ou sculptées, avec éventuellement des incsriptions, érigées devant les temples, les chapelles, les maisnos communales ou les pagodes, ou toutes sortes de creux (trous ou fentes au pied des arbres séculaires ou grottes et cavernes dans les parois de montagnes).
A côté de la vénération des organes sexuels (= élément), semblable à de nombreuses autres populations d’agriculteurs, les rizicultures en terrain inondé, avec leur esprit qui met l’accent sur les relations, ont encore l’habitude de vénérer l’acte sexuel.
Sur le couvercle de la jarre en bronze trouvée dans le village de Dao Thinh (Yen Bai) datant de 500 ans avant J-C) autour de l’image du soleil (comme sur les tambours de bronze), il y a des images de 4 couples en plein repport sexuel. Maintenant, quand on construit les maisons funéraires des Hauts plateaux du centre, on INSTALLEsouvent des statuettes de garçon et de fille pratiquant l’acte sexuel d’une façon tout à fait naturelle, avec des organes agrandis.
Il y a également plein d’images des animaux et d’oiseaux qui s’accouplent sur le corps du tambour de bronze du Vietnam datant de 3000 à 4000 ans que nous AVONS trouvé dans tout le long du Deltat du fleuve rouge.
A l’occasion de la grande fête au Temple des rois Hungs ( la première dynastie du Vietnam), se perpétue la danse “Tung Di”: les garçons et les filles dansent sexuels mâles et femelles. A chaque coup de tam-tam qui rythme la danse, ils lèvent les objets tenus dans la main et les font s’entrechoquer (di)
Depuis la nuit des temps, le mortier et le pilon ont été des instruments qui touchent de très près le paysan de l’Asie du Sud-est et qui symbolisent manifestement les organes de reporduction mâles et femelles, et l’action de piler de riz, l’acte sexuel. Sur les tambour de bronze, on voit de nombreuses images de garçons et filles pilant le riz en couple.
Si on ne saisit pas les relations entre le pilage du riz et le culte de la fécondité, on ne pourra pas comprendre la coutume “Gia coi don Dau” (coups de pilon dans le mortier pour accueillir la mariée): La famille du mariée arrive, on donne quelques coups de pilon dans le mortier avant de la faire entrer dans la maison, c’est le souhait au jeune couple d’avoir une famille nombreuse. On ne pourra pas comprendre davantage cette habitude de certains anciens villages où les garçons et filles font des chants alternés en tapant dans un mortier (vide) avec un pilon. Certainement pour marquer le rythme, mais en dehors du fait de garder le tempo du chant, cet acte doit traduire le souhait des jeunes gens de pourvoir s’unir et d’avoir des enfants. Et on ne comprendra pas non plus le jeu ‘‘cuop cau’’ (lutte pour la balle) un jeu vietnamien original, très prisé dans la région de Phong Chau (Phu Tho) et les environs, où deux équipes cherchent à s’emparer d’une balle en coton rouge (yang) pour ensuite la mette dans un trou (yin).
Le rôle du culte de la fécondité est si important dans la vie du vietnam antique que le tambour de bronze, symbole de la puissance et du pouvoir…, est en même temps symbole de tous ses aspects de ce culte: La forme du tambour a été élaborée à partir du mortier pour piler le riz, on frappe le tambour comme on pile le riz, en tapant avec la longue masse tenue verticalement, comme le montrent les gravures sur les tambours mêmes. Sur la façade du tambour, un soleil dartant ses rayons symbolise la puissance mâle et entre les rayons, il y a des formes ovales de feuilles avec une fente, symbole de l’essence de la femelle.
Même de représentations qu’on pourrait croire très éloignées de ces croyances, comme la Pagode à Pilier Unique très célèbre dans le quartier d’Ho Chi Minh à Hanoi, la pagode elle même est carré (yin), perchée sur un pilier en bois cylindrique (yang) planté dans un bassin carré ( yin) qui , au temps de Ly, était lui-même enturé d’un bassin rond (yang).
La tour du pinceau (Thap But en forme de pilon – yang) et la tribune de l’encrier Ngoc Son; ou encore la fenêtre ronde (yang) qui représente la constellation Khuê au pavillon “ Khuê van Cac” (dans le temple de la littérature) qui se reflète dans le bassin carré (yin) par exemple expliquent bien cette vénération de la fécondité.
D’ailleurs dans tous les lieux de culte, on dispose souvent, par rapport à l’autel des ancêtres, une cloche en métal à droite et un tambour en bois à gauche. Ce fait si simple est né à la fois de la théorie des Cinq principe et de la croyance de la fertilité: Le bois, du princepe Moc, est placé à gauche, l’Est, Yang. Le métal, du principe Kim, est placé à droite, l’Ouest, Yin. Le son de la cloche en bois, grave, doit se mélanger avec celui, métallique de celle en bronze: sans l’homme et la femme, sans un mélange harmonieux du Yin et du Yang, il ne saurait y avoir de vie éternel.
Même le gong, un instrument musical des minorités ethniques du Vietnam, qui imite la poitrine de la femme, est aussi symbole de la féminité. Il y a un proverbe qui dit: Lenh ông không bang công ba” ( le canon d’alarme de Monsieur n’est pas aussi fort que le gong de Madame).
Vénération de la nature
Le culte de la nature est l’étape obligatoire dans le processus d’évolution de l’humanité. Pour le Vietnamien et son pays, un peuple et une nation qui vivent de la riziculture en terrain inondé, la dépendance de la nature est d’autant plus profonde et plus étroite.
Vénération de la nature Le fait de dépendre simultanément de plusieurs éléments de la nature conduit au mode synthéthique de la pensée et au mode polythéiste. Les conséquences du caractère Yin de la culture d’origine agricole sont un comportement social basé sur le sentimental et la valorisation de la femme qui conduit à une situation de fait: Pléthore des déesses et génies féminins.
Tout d’abord, ce sont Ba Troi (la dame du Ciel), Ba Dat ( la Dame de la terre), Ba Nuoc (la dame des Eaux), des déesses qui président aux phéomènes naturels. Au début, ce sont bien des déesses femmes. Ce n’est que plus tardivement que, par suite en partie d’une besoin d’équilibre entre le Yin et le Yang, on trouve Ong Troi (Monsieur le ciel). Ensuite, sous l’influence de la culture chinoise d’origine pastorale, on a en plus Ngoc Hoang (l’Empereur de Jade), Thô Công (le Génie du sol) et Ha Ba (le génie des Eaux). Cependant, les ”Dames” continuent d’exister parallèlement sous d’autres noms: la dame du Ciel devient Sait-mère des Neuf étages célestes) où Cuu Huyen Nu (la dame noire des Neuf Cieux). A Huê, il y a Thiên Mu (la Dame céleste).
Vénération de la nature Dans de nombreuses régions, les Mères de la Terre et des Eaux subsistent encore sous forme de génies régionaux comme Ba chua Xu (la Reine de la Rivière), Ba Chua Bach (la reine du Canal). Parfois ces trois divinités sont encore vénérées ensemble comme un trio des “trois pouvoirs” sous la forme de Tam Phu ‘‘trois palais”: Le ciel, la Terre et les Eaux: Mau Thuong Thien (Saint-Mère du ciel), Mau Thuong Ngan (Saint-Mère de Monts et de la forêt) et Mau Thoai - déformation du Mot Thuy (Saint-Mère des eaux).
Le coutume de vénérer le soleil est une croyance très répandue dans les régions agricoles comme le vietnam, les images du soleil sont présenté partout, avant le Roi est considéré comme le fils du Ciel.
Après le Ciel, le Terre et les Eaux, il y a les Dames des Nuages, de la pluie, du Tonnerre, de L’éclair)-des phénomènes naturels qui ont une grande importantce pour la vie du peuple de rizicultures en terrain inondé.
Les Vietnamiens vénèrent encore des phénomènes naturels généraux comme l’espace et le Temps. Le Dieu de l’Espace est représenté suivant les “Cinq principes” (le Génie des Cinq directions” qui préside aux quatre point cardinaux et le Centre. Les Dames génies du temps sont celles des douze signes zodiacaux du système duodécimal et forment le groupe des Douze Grands Dignitaires” qui président chacune un signe. Le temps étant l’élément essentiel de la vie éternelle, ces douze génies président aussi à la vie. Ce sont les douze génies de l’accouchement qui accueillent les nouveaux-nés.
Vénération de l'homme
Les Vietnamiens ont la croyance selon laquelle mourir est retourner avec les ancêtre aux Neuf Sources, mais de là leurs âmes reviennent en permanence en visite et protéger la descendance est la base du Culte des ancêtres.
Chez les Vietnamiens, cette croyance est devenue la plus répandue et la plus développée jusqu’à devenir presqu’une religion. Même non croyants ont un autel des ancêtres chex eux.
Vénération de l'hommeÀ la différence des Occidentaux qui font attention à la date de naissance, les Vietnamiens attachent beaucoup d’importance au jour de mort dans le culte des ancêtres, car c’est le jour où l’homme entre dans l’éternité. Outre ce jour-là, on fait une dévotion le 1è jour et le 15 è jour du mois lunaire, appelés Soc vong (sygygie) ainsi qu’aux jours de fêtes rituelles et aux grands événements de la famille, leur demandant la bénédiction ou en remerciement d’un bon résultat: naisssance, mariage, construction de la maison, grand voyage, examen.....
L’autel des ancêtres est toujours placé dans la pièce centrale à l’endroit le plus respectacle. D’après la conception vietnamienne, il n’y a pas de différence entre le monde où nous vivons (Yang) et le monde des morts (Yin): On présente donc à l’autel pour les ancêtres, des choses parfaitement matérielles: Nourritures, vêtement, objets usuels quotidiens et ARGENT (ces dernières choses en papier, appelés vang Ma-objets votifs)
Seul la nourriture est réelle, et généralement accompagnée de fleurs, d’encens et d’alcool (facutatif) qui doit être de riz. Une chose ne doit pas faire défaut, c’est une tasse d’eau claire: C’est le bien le plus précieux du riziculteur après la terre. Après la combustion des baguettes d’encens, on brûle le papier votif et verse la petite tasse d’alcool ou d’eau sur les braises. C’est ainsi que les morts reçoivent leurs présents dans l’au-delà. Les flammes et la fumée s’élèvent dans le ciel, l’alcool liquide se mélange au feu pour imprégner la terre: devant nos yeux s’effectue un osmose feu-eau (Yin -Yang) et ciel-terre-eau” trois pouvoirs”.
Chargée de contenu philosophique:
- Le culte du Tho Cong, ce Génie du Sol, une forme de Dame de la Terre est celui qui veille sur l’ensemble des choses consernant la famille, son bonheur et sa vie quotidienne. Où que l’on vive. Il y a toujours un Tho Cong (chaque terrain a son génie et chaque rivière a le sien). Les relations entre Tho cong (Génie du sol) et les ancêtres (Génie humain) au sein de la famille sont très intéressantes. Tho Cong qui décide du devenir-avenir, du bonheur ou de la malchance pour toute la famille, est le génie le plus important. Mais les ancêtres à qui on doit sa vie doivent être les plus respectés. Pour maintenir la bonne entente de tous les esprits, au Vietnam on réserve aux ancêtres la pièce principale de la maison. Tho Cong occupe la pièce de gauche qui, suivant les “ cinq principes” = l’Est), est l’endroit le plus important après le centre.
- On vénère les génies protecteurs des villages et de la nation. Dans chaque village, il y a bien sur un temple, ou la maison communale pour honorer le culte du Génie tutélaire.
- La famille entretient le culte des ancêtres, le village celui du Génie tutélaire du village, le pays vénère le Roi originel-le roi Hung.
- Les Vietnamiens vénèrent aussi des Tu Bat Tu (Quatre Indestructibles), Monsieur Ta Vien, Giong, Chu Dong Tu, Lieu Hanh. Ce sont les génies qui aident la population du vietnam dans la lutte contre les ennemies, les fléaux naturels, ect……….
Vénération des animaux
Le type de la culture agricole favorisant l’aspect sentimental conduit le s Vietnamiens à vénérer des animaux pacifiques comme: Le cerf, le daim, le buffle, le crapaud……
Particulièrement, le type de culture basé sur le riz en terrain inondé lui a fait déifier des animaux des régions humides comme des oiseaux limicoles, des serpents, la tortue,des poissons et des crocodiles (qui figurent abondamment sur les tambours de bronze). Les penchants artistiques naturels de ce type de culture d’origine agricole ont même élevé ces animaux au rang de symboles en créant “Tiên” (immortelles) et “ Rông” (dragons), Phuong (phoenix). La légende dit que les Vietnamiens descendent de la famille Hong Bang, de la race des immortelles et des dragons.
Les dragonsLe dragon porte en lui les deux caractères spécifiques fondamentaux de la pensée agricole, synthèse et souplesse: c’est la réunion du serpent et du crocodile qui s’envole dans les airs sans avoir besoin de l’ailes, crachant à la fois du feu et de l’eau. Dans l’image du Dragon se trouvent partout sur les tombeaux, les tombes, la cité royale, les temples et pagodes. De nombreux lieux géographiques du Vietnam ont “dragon” dans leur appellation: La montagne Ham Rong (Mâchoire du dragon), l’ancienne capitale du Vietnam Thang Long (Dragon prenant son envol), Ha Long (Dragon descendant, le grand fleuve dans le sud Cuu Long (Neufs Dragons), Bach Long Vi (Queue du Dragon Blanc), Long Dien (champ du dragon), Long Mon (Porte du Dragon) etc.